Liberté de presse au Burkina : Non, les médias burkinabè ne sont pas la « Radio mille collines »

Le 23 janvier 2023, la Direction de la communication et des relations publiques de la primature, a publié sur la page Facebook de l’institution, le compte rendu d’une audience que le maître des lieux, Apollinaire Kyelem de Tambéla, a accordé au Président du Conseil supérieur de la communication (CSC), accompagné des membres du collège des conseillers. Lire la suite…

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Réseaux sociaux au Burkina Faso : Liberté d’expression ou liberté de pollution ?

Ceci est une tribune de Wend-Panga Aton ILBOUDO, sur la jouissance du droit à la liberté d’opinion au Burkina Faso, via les réseaux sociaux. Pour lui, cette liberté d’expression s’érige progressivement en « liberté de pollution » et mine davantage le vivre ensemble, la cohésion sociale et la paix.  Lire la suite…

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Crise alimentaire au Burkina : Le pays doit se reposer sur le développement de ses ressources agricoles, selon Abdoul Karim Sango

Depuis leur accession à l’indépendance, les pays africains n’ont pas travaillé à voler indépendamment de leur propres ailes. Jusqu’à nos jours, ils sont toujours, pour la plupart, dépendant des pays occidentaux. Si l’un de ces pays traverse une crise, les pays africains reçoivent automatiquement de plein fouet les répercussions. En l’occurrence, le Burkina , en plus d’être marqué par la crise sécuritaire, est confronté à une conjoncture économique difficile due aux répercussions de la crise ukrainienne. Cela révèle la forte dépendance du pays vis-à-vis des pays occidentaux. Comment sortir de cette situation ? Comment rectifier le tire ? L’ancien ministre de la Culture, des arts et du tourisme, Abdoul Karim Sango a tenté de donner des pistes de solutions à travers une réflexion étayée par des propositions de politiques publiques. Lisez plutôt ! Lire la suite…

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Contestation des réformes et violences en milieu scolaire : Une dangereuse récréation qui doit nécessairement prendre fin

« Manifestations contre les réformes du BEPC et du Baccalauréat : mieux communiquer afin d’éviter les crises inutiles ». Tel est le titre de la tribune que nous avons commise sur le sujet, dès l’apparition des premiers signes de crispation autour des réformes annoncées par le MENAPLN au niveau des examens du secondaire. Nous y voilà, en plein marasme. Une dramatique psychose s’est emparée du monde scolaire depuis fin mars. Violences, suspicions et accusations fusent de toutes parts. Au-delà des incompréhensions, des invectives plus ou moins virulentes, des procès en responsabilité qui s’instruisent et se tiennent çà et là, à tous les étages sociaux et administratifs de la nation, la voix de la sagesse commande pourtant d’aménager une porte de sortie de cette crise regrettable, qui n’avait véritablement pas sa raison d’être. Analyse sans parti pris d’un citoyen, parent d’élève et, de surcroît, responsable d’une structure scolaire.
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Incinération de fétiches à l’église Saint Pierre de Gounghin : Cinq organisations de la société civile apportent un éclairage

« Paroisse Saint-Pierre de Gounghin : Plus de 70 fétiches incinérés », c’est le titre de l’article de presse publié dans les colonnes du quotidien en ligne Lefaso.net dans sa livraison du mardi 20 avril 2021 qui relatait une neuvaine de libération et de protection organisé par l’abbé Martin Birba et qui s’est déroulé du 12 au 20 avril 2021, sous le thème « Lazare, viens dehors ! » (Jean 11,43). A cette information, le secrétaire technique de l’Institut des peuples noirs (IPN) M. Ousmane Djiguemdé a réagi dans son profil Facebook en estimant, entre autres, « qu’il s’agit là d’un précédent très dangereux qui peut engendrer un conflit de religions » dont nous devons nous passer « dans un contexte de réconciliation nationale et de quête de cohésion sociale ».
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Manifestations contre les réformes du BEPC et du Baccalauréat : Mieux communiquer afin d’éviter les crises inutiles

Le monde scolaire grogne. A l’appel de l’AESO (Association des élèves et scolaires de Ouagadougou), principale corporation du secondaire, les pensionnaires des établissements publics et privés de la capitale ont déserté les classes, quelques jours avant les congés de pâques. Ils ont battu bruyamment le pavé à travers les artères de la ville, bloqué des routes, barré des ponts, occupé des carrefours. Manifestant leur colère et leur opposition à des changements supposés dans l’organisation future des examens du BEPC et du Baccalauréat. Un conflit naissant, qui semble davantage émaner d’une vraie défaillance de communication autour des reformes en question. Analyse.
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